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Les chantiers en 2015

17/09/2015 : Inauguration du parc de l'université

Le parc de l'université a été officiellement inauguré jeudi 17 septembre. Yves Larmet, vice-président Patrimoine ; Alain Beretz, président de l'Université de Strasbourg ; Edouard Manini, ancien directeur du projet Opération campus ; Roland Ries, maire de Strasbourg ; Philippe Richert, président de la Région Alsace ; Robert Herrmann, président de Strasbourg Eurométropole ; Nicolas Matt, vice-président de l'Eurométropole de Strasbourg en charge de l'enseignement supérieur ; Catherine Trautmann, vice-présidente de l'Eurométropole de Strasbourg en charge du rayonnement européen et international de Strasbourg ont symboliquement planté les graines du savoir.

Revivez l'inauguration du parc de l'université grâce au reportage d'UTV ci-dessous.

17/09/2015 : Un parc de l’université flambant neuf et connecté

Débutée il y a 24 mois, la deuxième phase de travaux du parc central du campus Esplanade, désormais nommé « parc de l’université », s’achève tout juste. À ce processus de mue initié en 2009 succède désormais le temps de l’inauguration de ce poumon vert au cœur de l’université. Rendez-vous jeudi 17 septembre.

« Le changement est spectaculaire ! » Bastien, étudiant de master 2, n’en revient pas à son retour de vacances. Il faut dire que pendant l’été, les ouvriers du chantier du parc de l’université, compris dans l’« équerre » formée par la bibliothèque U2-U3, le bâtiment Pangloss et le Collège doctoral européen (CDE), n’ont pas chômé. Grandes étendues de gazon invitant à la détente, reliées par des cheminements piétonniers réalisés à base de liant végétal, le tout parsemé d’arbres et d’arbustes : les espaces extérieurs du campus central sont métamorphosés. Et le vœu d’« une université modernisée, plus attractive, plus verte et plus ouverte », moteur du projet, réalisé.
Vendredi 17 septembre, Alain Beretz, président de l’Université de Strasbourg et Stéphane Fratacci, préfet de la Région Alsace, représenté par Jacques Garau, secrétaire général pour les affaires régionales et européennes, inaugureront le parc en semant symboliquement « les graines du savoir », en présence  de Philippe Richert, président du conseil régional d’Alsace, de Roland Ries, maire de Strasbourg, de Robert Hermmann, président de l’Eurométropole, et de nombreux élus et partenaires du projet. Le vice-président Patrimoine, Yves Larmet, officiera comme maître de cérémonie.
Yves Larmet, accompagné d’Agnès Daval, paysagiste en charge du projet, se proposeront de guider les invités à travers les cheminements du parc. Des visites qui se prolongeront le week-end, à l’occasion des Journées européennes du patrimoine. Outre les élus et partenaires du projet, personnels de l’Unistra, étudiants et riverains sont tous conviés à cette inauguration.

Un lieu de vie relié à l’extérieur

Car c’est véritablement comme un lieu de vie que le projet de parc de l’université a été pensé et conçu. 980 arceaux ont été installés, pour permettre d’accrocher, en capacité maximale, près de 2 000 vélos. Chaises, tabourets et tables flambants neufs, 260 au total, disséminés sur le campus, offrent d’agréables lieux pour discuter, lire ou travailler en plein air…
D’autant que pour le 17 septembre, neuf bornes Wi-Fi seront mises en service, permettant aux étudiants, personnels et enseignants de l’Unistra de se connecter à Internet depuis les quatre coins du campus (voir plan ci-contre). « À l’origine du Wi-Fi outdoor, une demande convergente de la présidence, des usagers du campus et des artistes de l’Ososphère bientôt en résidence, qui avaient besoin d’une connexion extérieure pour mener à bien leur intervention», explique Sébastien Boogia, coordinateur du projet au sein de la Direction informatique. En cours depuis mars, le déploiement du Wi-Fi en extérieur a dû recevoir l’aval de la Direction du patrimoine, car les antennes sont installées sur les façades des bâtiments, et reliées à des bornes extérieures. « Elles sont discrètes, en hauteur et émettent moins qu’une antenne de téléphonie », rassure Sébastien Boogia.

Mais un tel lieu de vie, ouvert à tous, ne va pas sans aléas et dysfonctionnements. « Nous avons déjà noté certaines dégradations, tags sur le mobilier urbain, déchets et déjections canines  par terre », reconnaît Brahim Doughouas, en charge du projet au sein de la Direction du patrimoine immobilier. Pour tenter d’y pallier, des solutions ont d’ores et déjà été avancées : renforcement du nombre de poubelles de tri (100) – Brahim Doughouas insiste sur « la dimension pédagogique » d’une telle démarche –, installation de 80 cendriers aux entrées de bâtiments, et adoption d’un règlement intérieur du parc, signé par le président de l’université. Pour l’instant, pas de sanction, mais la possibilité d’une intervention de la police municipale au sein du parc est à l’étude…

Mise en valeur par la lumière

Omniprésente et indispensable, en particulier en période hivernale, la lumière est un élément loin d’être laissé au hasard dans la conception du parc de l’université. La mise en lumière, étendue à certaines zones dans un souci de sécurité, a été confiée à un professionnel, Charles Vicarini. Pour valoriser les 327 arbres, 2 600 mètres carrés de prairie fleurie ou encore 2 600 rosiers, cinq « plans lumière », adaptés aux différents moments de la journée (soirée, nuit, levée du jour) et aux saisons, mais aussi modulables en fonction des événements (Nuit des étoiles, par exemple), ont été imaginés. LED basses consommations, tests pendant un an et réglages millimétrés : rien n’a été laissé au hasard. À commencer par la disposition de la centaine de lampadaires et surtout des neufs mats d’éclairage placés aux entrées stratégiques du campus. Leurs trois faisceaux colorés éclaireront de façon différenciée panneaux campus (en vert), panneaux plan boussole (en blanc) et le sol (en bleu). Le nouvel éclairage réserve encore bien des surprises aux visiteurs du soir, notamment la projection lunaire sur la façade de l’Agora, qui risque de leur mettre des étoiles plein les yeux…

La phase finale des travaux achevée, qui concernait le parking Descartes de la bibliothèque U2-U3 (145 places), certains ne manqueront pas de s’interroger sur le terrain de sport, à la terre fraîchement retournée et ceinturé de barrières. Brahim Doughouas les rassure : « La pelouse a été semée. Il faudra attendre la première tonte, après l’enracinement du gazon, pour ouvrir la parcelle au cheminement. Et le reste des arbres sera planté à l’époque la plus propice, c’est-à-dire en novembre. »

 

Pièce maîtresse de la métamorphose du parc de l'université, stratégiquement placée au croisement des chemins du campus, entre les facultés de droit et de chimie, l’œuvre d'art Pergola interrogera (du 17 au 20 septembre) ce nouvel espace vert et ouvert, lieu de transition et d'échanges entre l'université et la ville. Son inauguration, le 17 septembre, prélude à la résidence hivernale de l'Ososphère, s'accompagnera des créations musicales de Jean-François Laporte et des lectures de manifestes architecturaux proposées par Christophe Greilsammer (Cie L'Astrolabe).

En attendant, la palette complète des couleurs du parc ne se révélera aux regards qu'au printemps 2016... Patience !

Avant/après : l'évolution du campus se déroule sous vos yeux

19/06/2015 - Parc central : derniers coups de pioche avant l'inauguration

La période estivale ne sera pas de tout repos pour les différents corps de métiers qui évoluent sur le parc central. Les aménagements, notamment ceux du parking Descartes, doivent être finalisés d’ici au 17 septembre prochain pour l’inauguration officielle.

Après presque deux ans de travaux, le parc central sera inauguré le 17 septembre prochain. En attendant cet événement, couplé avec la première intervention du festival Ososphère sur le campus, les travaux d’aménagement vont se poursuivre sur la zone entre l’Atrium, l’École et observatoire des sciences de la Terre, l’UFR de mathématique et d'informatique et la bibliothèque U2-U3. Le parking Descartes a ainsi été fermé le 15 juin dernier comme annoncé par Yves Larmet, vice-président Patrimoine, lors de la réunion d'information sur les chantiers de l'université fin mai.
Devant l’Atrium, on devine déjà l’espace sportif, volontairement aménagé en contrebas, et l’équerre pavée est quasiment finalisée. Sa réalisation va se poursuivre jusqu’au débouché de la rue Pierre-Montet. L’ensemble des bâtiments situés près de la zone de travaux restent accessibles ; des cheminements de contournement seront mis en place. La sortie nord de l’Escarpe ainsi que la liaison au sud de la bibliothèque U2-U3 seront ouverts par épisodes en fonction des besoins du chantier pour la création du parvis en granit reliant les deux bâtiments. 

Un parking de 145 places 

Sur le parking, le terrassement a d’ores et déjà commencé tout comme les travaux de réseaux (chauffage, eau potable, éclairage). « Pendant le reste de la période estivale, les interventions vont s’y intensifier car il y a encore beaucoup de travail pour que début septembre, les usagers découvrent un campus aménagé et utilisable », explique Brahim Doughouas, en charge du projet à la Direction du patrimoine immobilier. À sa réouverture, le parking offrira 145 places privatives de stationnement. Pendant l'été, les autres parkings du campus restent ouverts et sont utilisables avec la même carte d'accès.
En parallèle de ces aménagements, l’installation du mobilier (tables, bancs, arceaux à vélo, etc.) se poursuit. « Nous allons aussi installer un plus grand nombre de corbeilles et de cendriers, gages de propreté sur le parc central », insiste Brahim Doughouas. La végétalisation de la dernière zone devra par contre attendre la période propice aux plantations. Le gazon sera notamment semé cet automne. « Il va aussi y avoir beaucoup d’arbres à planter, le terrain sera prêt à les accueillir cet été mais il faudra attendre l’hiver pour les mettre en terre », précise Brahim Doughouas. Si le parc a commencé à se colorer ci et là, il faudra patienter jusqu'au printemps 2016 pour véritablement découvrir toute la palette végétale du parc qui évoluera en fonction des saisons.

 

01/06/2015 - La Maison universitaire internationale

En septembre 2015, la Maison universitaire internationale ouvre ses portes dans le quartier de la Presqu’île Malraux. Ce lieu dédié aux échanges internationaux accueillera des logements confortables et modernes et de nombreux services adaptés aux besoins des étudiants, enseignants et chercheurs du monde entier, mais aussi aux publics de l’Unistra souhaitant effectuer une mobilité internationale.

Au cœur de la ville

La Tour Seegmuller, ancien bâtiment industriel ancré dans le patrimoine architectural de Strasbourg, a été entièrement réhabilitée pour accueillir ce lieu de vie. Située dans le quartier en plein essor de la Presqu’île Malraux, dans le prolongement du campus central et à proximité directe du tramway, de divers lieux culturels et des commerces, la Maison universitaire internationale est parfaitement intégrée dans la cité.

Des studios meublés et équipés

La Maison universitaire internationale comprend 170 studios modernes, fonctionnels et confortables. La superficie de ces studios varie de 18.5m² à 40m² et la moitié est équipée pour recevoir des personnes à mobilité réduite. Gérée par l’association strasbourgeoise Amitel, cette résidence propose de nombreux services : accueil 7j/7, restauration, réseau Internet WIFI, laverie automatique, salle de sport, salle de musique, location de vélos… La majorité des logements sont ouverts à l’aide personnalisée au logement (APL).

Découvrez les tarifs des studios

Le service d’accueil international de l’Université

Cette infrastructure intègre également les services utiles à tous les publics universitaires étrangers. Au premier niveau du bâtiment, le pôle d’accueil international de l’Université de Strasbourg propose un accompagnement personnalisé aux démarches administratives liées à leur séjour en France. Ce service d’accueil comprend également des permanences d’administrations utiles à l’installation et offre des cours de français langue étrangère.
Ce bâtiment abrite également le Centre de services Euraxess de Strasbourg qui offre une assistance personnalisée et gratuite aux chercheurs internationaux et à leurs familles.

Pensée pour être un carrefour de rencontres interculturelles, la Maison universitaire internationale est aussi le lieu de référence pour les étudiants et personnels de l’Unistra qui souhaitent partir en mobilité internationale. Ils pourront s’y informer sur les différents programmes d’échanges, les financements et les modalités de départ.

Une infrastructure portée par 6 partenaires publics

La réhabilitation du bâtiment a été financée dans le cadre de l’Opération Campus par la Société d’aménagement et d’équipement de la Région de Strasbourg (10 M€) dont la ville est le principal actionnaire, le Département du Bas-Rhin (2,5 M€), l’Eurométropole de Strasbourg (1,5 M€), la Région Alsace (1,5 M€) et l’Université de Strasbourg (1,5 M€).

 

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