Alors étudiante en sociologie, Géraldine Schverer est embauchée en renfort à la scolarité de l’Université Marc-Bloch en 2006. Elle devient ensuite responsable de la scolarité de la Faculté de théologie protestante. Une petite composante, dont elle apprécie l’ambiance familiale, pendant six ans. Impliquée en parallèle dans le projet de progiciel de gestion des parcours d’étudiants Alizée, elle rejoint le Collège doctoral européen (CDE) en 2014, en tant que gestionnaire.
Retour à ses premières amours
En charge des formations transversales aux dix écoles doctorales (ED) à partir de 2020 (langues, méthodologie de la recherche, etc.), elle revient à ses premières amours un an et demi plus tard : la scolarité, toujours au CDE, au sein d’une équipe de douze personnes. En regardant dans le rétroviseur, Géraldine Schverer apprécie la grande variété de ses postes et échelles d’intervention au sein de l’Université de Strasbourg, toujours dans l’intérêt des étudiants.
Un public très international dans le cas des doctorats que je côtoie. Aujourd’hui, je travaille en binôme avec un super-collègue, nous sommes en charge de deux ED aux profils très différents : les 70 doctorants des Sciences de la Terre et de l’environnement pour moi ; 500 pour l’ED Sciences de la vie et de la santé, pour lui. Cela nous permet de nous partager le travail et d’être complémentaires.
Ce qui est très appréciable à l’université, c’est que si on le souhaite on peut évoluer, changer de service, il y a toujours du mouvement ! J’apprécie beaucoup le contact avec les doctorants, savoir que je travaille pour eux donne du sens à ce que je fais. En quinze ans, j’ai vu l’évolution du métier, je suis moins amenée à les rencontrer qu’avant, notamment du fait de la dématérialisation des démarches. Mais je suis toujours très heureuse de les voir en fin de parcours, au moment de leur soutenance, le relationnel est toujours très détendu, et il y a aussi beaucoup d’émotions au moment de la remise des diplômes !
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