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La Faculté des langues propose une offre de formation en langues diversifiée, à caractère professionnalisant ou orientée recherche, dans 28 langues.
En plus des formations diplômantes à destination des étudiantes et des étudiants spécialistes en langues, la Faculté des langues, via le Pôle Langues pour spécialistes d'autres disciplines (Lansad), dispense des enseignements de langues pour les étudiants spécialistes d'autres disciplines.
La faculté dispense également des enseignements d'ouverture destinés à l'ensemble des étudiants de l'université.
65ᵉ anniversaire du Département d’études hongroises
Sessions CLES : FLE B2
Mikis Théodorakis 1925-2021: conférence et concert en son honneur le 11 décembre 2025
À l'occasion du centenaire de la naissance du compositeur grec de renommée internationale Mikis Théodorakis, le département d'études néo-helléniques organise un événement exceptionnel
Théâtre poétique arabe : L’Amour est le salut de l’univers d'Ibrahim al-Jurayfani الحُبُ خلاصُ الكونِ
Rendez-vous le 12 décembre à 18h30 pour la représentation annuelle des L2 LLCER Etudes arabes, dans le cadre du cours "Arts et cultures monde arabe" (ARTLINGO)
Journée d'études : Le retour de la guerre. Les dramaturgies au miroir des conflits contemporains
Journée d’études organisée dans le cadre du festival « Echo de Lioubimovka » (26 au 28 novembre, à la Pokop)
Si la recherche, de longue date, s’est interrogée sur la mémoire de la violence historique et des guerres dans les arts de la scène, le contexte contemporain invite à repenser cette approche en ce qu’il met la création théâtrale aux prises avec des conflits en cours, en Ukraine ou à Gaza, et marque le retour de la guerre sur la scène, non comme un objet de mémoire, mais comme une brûlante question d’actualité. C’est cette piste que suit la journée d’études « Le retour de la guerre. Les dramaturgies au miroir des conflits contemporains », en clôture du festival « Echo de Lioubimovka ». Qu’est-ce qui change lorsqu’on écrit du théâtre en temps de guerre, et non uniquement sur la guerre ? La prégnance géopolitique et médiatique des conflits contemporains, qui ont pour caractéristique de provoquer un nombre très élevé de morts civiles et de destructions, relance en effet le débat sur la capacité du théâtre de représenter la violence sans la trahir ou la banaliser, de témoigner de l’horreur sans l’esthétiser : elle place l’écriture dramatique, la mise en scène et la performance au cœur d’une problématique éthique rendue plus aiguë par le déroulement en parallèle de ces drames.
La guerre contemporaine peut-elle se comprendre au prisme de modèles venus du passé, ou bien ceux-ci sont-ils rendus caduques par les formes hybrides et dévastatrices prises par les conflits auxquels nous assistons ? Entre la dissimulation de leurs véritables motifs, leur robotisation, et les modalités de leur visibilité dans les nouveaux dispositifs médiatiques, qu’ils soient officiels ou contestataires, comment les formes scéniques se saisissent-elles des données nouvelles de la guerre ? Quel peut-être, enfin, l’objectif de ces représentations : peuvent-elles réparer, agir, reconstruire ?